J’ai pas de belles images à moi en ce moment, alors celle-là aussi je l’ai prise sur Pixabay !

EDIT DE L’ARTICLE : Faute de trouver un groupe Facebook qui me plaisait pour parler tricot, j’en ai créé un moi-même, il s’agit de Happy Tricot, et c’est un groupe « public » donc tout le monde est le bienvenu ! A bientôt !

S’il y a bien une passion que je pratique régulièrement depuis des années, c’est le tricot. Quand je dis « régulièrement », ça veut dire ce que ça veut dire : à intervalles réguliers, mais pas nécessairement souvent. Ma grand-mère m’a appris la base : monter des mailles, faire des mailles endroit et envers, rabattre des mailles. Je pense que c’est souvent le cas des gens de ma génération qui tricotent, les grands-mères auront quand même réussi à transmettre leur savoir-faire, finalement !

Quand j’étais ado, j’avais du mal à vraiment m’y mettre, et pour plusieurs raisons. Déjà, la mode du tricot n’ayant pas (re)fait son apparition, c’était encore très ringard, et difficile alors de trouver des modèles au goût du jour. Ensuite, je ne savais pas quoi tricoter, et un pull en taille adulte, bonjour la masse de boulot quand on débute. Et le déclic s’est fait quand j’étais enceinte de Chouquette (et pas de Chouchou, pour ma première grossesse, c’était la pâtisserie).

Pour ma part, je travaille beaucoup des modèles Phildar, il y a une boutique à deux pas de chez moi, leurs modèles sont plutôt sympas, leurs laines assez cool. Je connais quelques autres enseignes, mais n’en ayant pas à portée de main, je n’ai pas eu l’occasion encore d’y mettre les pieds.

J’ai commencé par des catalogues de niveau « débutant« . Les explications techniques sont claires, il y a des vidéos explicatives sur le site Phildar.fr, et un peu partout sur Youtube au cas où. Ce sont des modèles simples à réaliser, et l’avantage, c’est que ce n’est que de la layette, donc c’est petit et rapide. Les laines utilisées sont pas forcément onéreuses, et pour de si petits modèles, il faut peu de pelotes, donc le coût de revient est assez faible.

Ensuite je suis passée à des catalogues plus corsés, j’avais besoin de relever des défis… j’en ai acheté plusieurs, j’ai fait plusieurs modèles, toujours en layette par contre (et il y a tellement de bébés et d’enfants dans mon entourage que je devrais pas perdre l’inspiration avant longtemps).

Et entre temps, j’essaie de faire des petites choses plus rapides, comme des bonnets ou des snoods, et je pique le modèle sur internet. Il y a le blog de JulyPouce : j’ai fait deux fois sa paire de mitaines ! Sinon, Pinterest est un bel atout aussi, la plupart du temps on retrouve les explications en lien de l’image.

Voilà en vrac quelques modèles que j’ai pu réaliser, à nouveau je ne fais pas honneur à mes capacités graphiques car les photos sont dégueu’… Vous remarquerez peut-être que je n’utilise pas toujours les laines conseillées, ou que je change les motifs. Mais je vous expliquerai tout ça dans un prochain article, sans doute.

Robe pour Chouquette – Modèle Phildar + laine de récup’

Snood Maman Chou – point fantaisie + laine Phildar en solde achetée l’été dernier

Mitaines – modèle JulyPouce + laine de récup’

Snood et bonnet pour Chouchou – modèle Pinterest + laine Phildar

Bonnet Space Invaders – modèle perso + laine de récup’

Bonne pour Chouquette – modèle Phildar + laine de récup’

Pull en cours pour Chouchou – modèle Phildar + laine de récup’

Il me manque les photos de deux de mes réalisations que j’aime beaucoup mais qui sont des cadeaux : un petit pull en laine miniature pour un bébé de mon entourage, et une paire de mitaines inspirée de celle de July Pouce mais dont j’ai refait entièrement le motif, que j’ai offert à une amie pour son anniversaire. Si les personnes concernées se reconnaissent, n’hésitez pas à me faire parvenir des photos 😉

J’en ai fait quelques autres mais ce sont des vêtements désormais trop petits pour Chouquette, rangés au fond d’un carton, et pour lesquels je n’ai pas de photo sous la main non plus…

Et vous alors, vous tricotez ? Crochetez ? Cousez ? Et votre inspiration vient d’où ?